Pendant que certain(e)s se demandent encore s'il vaut mieux vivre que vivre, d'autres ont fait le choix "d'être" dans le moment le plus présent.
Certain(e)s empruntent le chemin de la destinée inter-générationnelle tandis que quelques irréductibles, pirates immémoriaux, ne connaissent que le fruit de leurs utopies.
Comme Mr More, qui a su mettre le cap sur l'île des gauchers dans le but de retrouver le plus célèbre des syndromes.
Force et longue vie au cabaret de nos utopies!
Je, tu, il, elle, nous aimons attiser la flamme. Tantôt pyromane
tantôt pompier.
Coincé dans la dualité, à la bordure de la ligne.
Aimant se sentir au tant en danger que dangereux.
S'alignant sur des principes Taoïstes sans en connaître ni le fond ni la
forme.
A chacun sa bordure, l'un alignant les complexes noctambules de criminalité
contre lui-même, hurlant sa non confiance dans un qui m'aime ne me suit
pas. Ou dans un "si je ne t'aime pas je te suivrai".
L'autre semblant être la sagesse hebdomadaire, touchant la ligne du
"c'est possible", caressant la profondeur des âmes par sa beauté
primaire tout en leur exprimant, l'objectif de réconciliation personnel et
pulsionnel abouti, arrivé au paroxysme de la séduction introspective,
l'impossibilité de possession partagé.
S'invitant alors à retrouver un nouveau domicile (être) pour re-flatter ses
complexes d'infériorité de soi par rapport à soi.
Aux milieux, se trouve l'être animé par sa propre voix, écoutant les prières
intérieures comme étant parole divine, revisitant Nietzsche et ses principes de non
connaissance de l'être divin comme étant la raison psychosomatique de la
croyance inversé.
Misant sur la beauté de l'âme et de sa nature spirituelle.
Comme si la croyance relevait de la non croyance.
Nous possédons l'irréelle et dangereuse force de convaincre, l'autre mais
aussi soi, par des mécanismes ambigus à nous même.
Sans aucune intention de solutionner l'incompréhension des réalités communes
et individuelles, idéalisant une ordonnance pour la destruction de certains
actes compulsifs.
Juste qu'en insistant, pourrions-nous peut-être nous observer dans un seul
et même écho.
Ne renvoyant pas à l'autre à nouveau mes actes qui déterminent le couperet
intérieur, tout en lui demandant de bien croire au contrôle pragmatique, et
d'appuyer la connaissance de sa ligne et de ses bordures.
Certains espoirs nous lient à l'altérité, ils nous transmettent comme message l'amour de l'autre. Parfois, pas comme un choix, mais comme une direction que seules nos sensations peuvent expliquer.
L'inconscient repense alors le lendemain dans une nouvelle vision qui peut parfois nous amener à revoir le cours du présent.
Avec une nouvelle place faites dans nos esprits, un nouveau casier.
C'est alors que le chemin peut croiser de nouveaux visages qui s'imprimeront de façon indélébile au plus profond de nous même. Ou alors nous remettre sur la route d'anciens proches pour nous rappeler qui nous sommes.
Guidance!
La pluie tombe. Il marche entre les murs, frôlant le bitume qui recouvre les pavés.
Seul, sans esquisse autour, sans une parole pour répondre à ses 100 pas.
L'esprit malléable, désarmé, insociable.
Le silence prouve pourtant le contraire, son cœur palpite une symphonie idéale.
Percutant ses sens jusqu'à l'en distraire, involontairement ils se suivent, guidés par les mêmes choix, la même douleur qui cimente le paysage.
Une écharpe court autour de son cou, comme deux mains qui étouffent chacun de ses soupirs.
Il aurait souhaité découvrir le monde, prendre comme bible le voyage.
Pas de mélodie, juste un murmure pour sortir de cette cage.
Il aurait souhaité mourir, porté par ses passions, une vie au multiple visages.
Arrivé au carrefour social, plus aucun panneau n'indique toute direction.
Seule la pluie dessine alors un rivage.
Ré-ouvrant les yeux, clos depuis si longtemps, il aperçoit un enfant au sourire familier.
Dans la main un bateau de papier prêt à lever l'ancre.
Leurs regards se croisent, et se souviennent, de ce vieux pacte, il fut un temps réalisé.
Alors la pluie s'arrête et leur murmure de ne pas oublier.
De prendre l'humour comme bouclier et l'amour comme épée.
Asséchant ses larmes, l'enfant se lève et lui tend la main. Comme pour lui demander de l'accompagner.
Comme une trêve lui parlant du lendemain.
Il lui dit alors de se rappeler: "Rappelles toi" lui dit-il, de se souvenir de chaque rêve que sa jeunesse exprimait.
"Toi, tu m'avais fais la promesse de rester moi-même, de combattre les orages de la peine, de rendre l'espoir au présent".
Tu m'avais promis de me faire traverser les mers, m'assurant de la dignité qui coule dans mes veines. L'homme esquisse alors un sourire, tandis que l'enfant disparaît comme un étrange souvenir.
C'est alors qu'un théâtre nostalgique est mis en scène.
Autour ce n'est plus un songe mais bien un dédale de gens qui vivent.
Aujourd'hui l'homme est prêt à s'en aller.
Ses yeux se ferment comme au premier jour.
Il retrouve le bateau de son enfance, fait de pliage et de papiers.
Prêt à embarquer et à passer sur l'autre rive.
Le regard droit, il monte un à un les marches de la vie.
Nostalgique d'un temps passé à la "comme dirait ma femme", il exulte à la vue d'une relation incestueuse avec l'objectif.
Insoumis et pris de cours, on se demanderai même si l'inspecteur ne serait pas l'un des premiers à avoir changé les mœurs, icône des années 60, anticonformiste, voir même précurseur!
Mettant son égale en avant comme la pierre philosophale, c'est seulement 20 années plus tard que ma réflexion a abouti sur ce personnage, peut-être dû à la sensibilité du générique qui agissait sur moi comme une vague de somnifères.
Pieds nus, elle a traversé les chemins de la perception, évinçant alors toutes les frustrations émises par son esprit. Parlant à son égo et hurlant son non-savoir.
Paraissant pour les uns, et imitant pour les autres. Se perdant de bonne foi, sans observé l'extrême point de vue qui naissait au sein de son propre parcours.
Dévisageant sa face sombre et grimaçant à chaque emprunte dessiné par les expériences de sa lumière, elle alla cueillir les sourires en plantant de ci de là les siens dès qu'elle en possédait l'occasion.
Comme une fuite de l'âme ouverte à chaque rencontre.
Quelque fois épuisée et à d'autre moment estimée comme une princesse d'un autre temps.
Une légende raconte qu'elle s'arrêtera de marcher le jour où tout les cœurs auront été chauffé et que le sien effacera la douceur de sa propre noirceur.
Si vous la rencontrez en son périple, n'oubliez pas de lui rendre ce qu'elle vous a donné, de ne pas confondre amour universel, et sentiment d'appartenance.
Si le temps vous le permet, dites lui qu'un jour nos chemins se recroiseront .
Peut-être seulement pour lui souffler que le rêve n'est pas un non lieu et que sa projection s'appelle réalité.
Installé entre la porte et le marché, entre le mur et l'oreiller. L'agilité se perdant dans les heures, elle ressuscite la proximité et distille son savoir à point d'heure. Les limites du personnel s'arrêtant à chaque pas foulé en sa direction. Intimidant la boule coincé au creux de nos ventres, et lui permettant pourtant de sortir à l'air libre. Pas d'imitation possible! Là où juste le fait d'être est déjà acquis la magie du lien humain se permet d'opéré!
Panda Dub - Neighbour Connexion (meets Dubatriator)
Des fois certains destins sont liés, et le cours de la vie prend une direction différente à un instant T. A chacun son créneau, comme une longue frise ou le temps réclame le suivant. Et ou le précédent n'est autre que son voisin. Créativité inspiré, les pas de l'un suivent les empruntes de l'autre!!!
Joseph Cotton-Plant De Vegetables (Mother Long Tongue Riddim 2002)
Sans préavis, le choix de l'électrique est partout.
Dans un coin de nos têtes, nous sommes forcés de se poser la réflexion du nombre et des générations futures.
Quand l'équilibre planétaire est menacé, après les civil(e)s, peut-être les usines???
Paul Holmes - Digery Dubstep
Les transports électriques présents dans toute la ville
Des fois les plus grands couturiers pensent définir l'essence d'une mode.
Significativement celui-ci ne jouissait pas de ce statut, mais pourtant.
Patchworkant son univers, il nous résuma que chacun possède les clefs de la création.
Ce haut-lieu a servi de terrain de jeu sensationnel pour l'élite
de Shanghai, où chaque nuit était un événement de gala extravagant et
un véritable défilé de mode. C'est hôtel a plus de huit décennies!
Peace hotel (Instrumental) The Shanghai Restoration Project
Le quartier d'affaire Lujiazui, place financière la plus importante de Shanghaï.
Cette année, le 31 décembre 2011, une partie de la population étaient réunis afin de voir l'illumination qui se passait face à ces tours. A 00h00, toutes ces tours se sont éteintes pour laisser place à un spectacle de lumière. Taxi saturé par la suite, métro fermé, nombreux sont ceux qui se sont retrouvés à attendre pendant de longues heures pour trouver un transport. Et oui, Shanghaï réunis plus de vingt-trois millions d'habitants!
A Nice Set | Shanghai, presented by NeochaEDGE X Jellymon X We Are Plus
A l'heure où l'âgé capitaliste connait ses premières pertes psychomotrices, le jeune fils de Mao jouit d'une forme physique similaire à l'enfance de l'OCDEdurant les trente glorieuses.
Système aux antipodes, mais pactisant dans une course où le dopage est encouragé.
Dès 6h00 dans les parcs, l'on retrouve les anciens aux allures d'Ip man travaillant leur Kung Fu, certain(e)s regroupés, s'appliquant avec grâce dans une danse au rythme du Taï-chi pendant que les jeunes couples frappent le volant dans un échange de badminton.
Et tous remontent sur la selle de leur vélo électrique parcourir la ville afin de retrouver les gestes de leurs travaux respectifs.
Quand certains s'embourbent dans un dernier coup de queue pour sortir de la crise, d'autre respirent aux rythmes d'une restauration à grande vitesse.
Confidences croisées, et dégénérescence épiscopat. Là où son regard est posé, le corbeau a assiégé les siècles et tourné son film dans chaque continent. Prouvant que la sagesse est l'outil du moindre, et que le repos secoue les plus différents. Sang mêlé et beauté du néant, science du salut qui vient interrompre le pur et l'accroché sur l'arbre "du chacun dans son chacun".
Le regard creusé par la famille Newman, entre le feu et les faux semblants amicaux! Quand l'amour se monnaye en nombre de puits de pétrole. L’audience peut alors prendre son envole. Parfois l'on pourrait croire que la distance qui sépare un hémisphère à l'autre, divise nos aïeux. Et pourtant Victoria traverse l'océan sans discorde, et d'une touche appuyée se retrouve face au parallèle écran!